Crémeux de carottes et coriandre, fromage de chèvre
Rillettes de maquereaux, crème de fromage frais aux herbes
La vraie salade César de Sébastien
Lieux noir, polenta crémeuse aux épices & vinaigrette K
Sauté de canard aux figues & gratin Dauphinois
Quiche poireaux & maroilles, feuilleté aux curry, salade verte offerte
Risotto au lait de coco, cubes de courge de Nice & noix de cajou
(sans gluten, sans lactose)
Cheesecake black & white, soupçon d’orange
Œufs au lait XXL & caramel beurre salé
Pommes façon tatin, Chantilly & palmito maison
EXCEPTIONNELLEMENT... ce menu vous sera servi 3 semaines !
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Zoom sur... la courge !
Novembre est évidemment le mois de la courge ! Alors que diriez-vous d’en savoir plus ?
En fait, le mot « courge » est un terme générique qui peut s’appliquer à toutes les variétés de cucurbitacées puisque c’est bien de cette famille que l’on parle. Dans le langage courant, les termes citrouille, potiron, courge… sont souvent confondus.
Un peu d’histoire pour commencer…
Toutes les espèces du genre Cucurbita sont originaires du Mexique, de l'Amérique centrale et de l'Amérique du Sud. D’après les vestiges que l’on a trouvés dans les ruines d’anciennes habitations, leur domestication daterait de 5 000 à 15 000 ans. La courge est donc l'une des premières plantes à avoir été mise en culture dans le monde. Mais la chair du fruit sauvage – très amère, voire toxique – n'était guère consommée. Par contre, ses graines constituaient une riche source de nutriments pour les Amérindiens, tandis que le fruit séché servait à confectionner divers récipients, instruments de musique et objets de rituels que l’on décorait parfois richement. Introduite en Europe, puis dans le reste du monde avec les conquérants espagnols, la courge a été adoptée dans de nombreuses cultures. Le travail de sélection que les Amérindiens ont effectué pendant des millénaires pour obtenir des fruits plus gros à chair comestible a été poursuivi, donnant naissance, pour les cinq espèces cultivées, à des centaines de variétés, présentant une très grande diversité de formes, de couleur et de dimensions.
Le saviez-vous ?
Les courges sont des fruits, comestibles à maturité, même si on les cuisine surtout comme des légumes. Elles rejoignent ainsi la tomate et le concombre dans cette catégorie. Selon les variétés, on trouve des courges d'hiver et d'autres d'été, principalement la bien connue courgette. Eh oui, c’est la même famille !
Mais comment faire pour distinguer le potimarron du potiron et de la citrouille ? C’est très simple ! Il s’agit de deux variétés de courges bien distinctes. Le potimarron est beaucoup plus petit que le potiron. Il dépasse rarement 4 kg et il ressemble vaguement à une grosse figue orange. C’est celui que vous trouverez le plus couramment sur les étals des marchés à la période automnale. Ne vous embêtez surtout pas à enlever sa peau, cette dernière est comestible ! Le potiron est quant à lui un peu plus enrobé. Quand on le regarde, on peut penser à une grosse citrouille. Mais ne vous trompez pas ! Il est plus large et sa couleur est beaucoup moins vive. Le potiron a la chair tendre et savoureuse. Cette dernière est très sucrée, on utilise donc le potiron pour confectionner de délicieux dessert. Vous l’avez compris, la citrouille est plus ronde et plus orange vif mais moins savoureuse. En fait elle se cuisine rarement. Elle est surtout très populaire aux Etats-Unis avec un usage principalement décoratif pour Halloween bien sûr.
Astuce
Ne jetez pas les pépins de courges ! Rincez-les, faites-les blanchir 5 minutes dans l’eau bouillante et égouttez. Ensuite, faites-les griller à la poêle à sec, avec du sel et des épices, ou au four, de la même manière, pendant quelques minutes sous le grill. Vous obtiendrez des graines apéritives, surprenantes mais délicieuses !
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Dans la dernière newsletter je vous présentais le OFF Cheval… l’occasion maintenant de faire découvrir à celles et ceux qui ne sont pas encore venus nos 2 artistes qui exposent au Londres jusqu’en janvier. Laureline Merienne est passionnée d’équitation et de dessin, ce qui l’a tout naturellement amenée à devenir Portraitiste Animalier. Confiez-lui une photo, elle rendra votre petit ou grand compagnon éternel, sur des formats extraordinaires si vous le souhaitez ! Jacques Blézot à l’inverse se plonge dans la création et l’imaginaire pour nous offrir des œuvres toujours plus originales et maitrisées… à l’image de ces 9 disques vinyles revisités…
On adore ces 2 artistes si complémentaires !
Venez les admirer et pourquoi pas les acheter jusqu’au 13 janvier 2019 !
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